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C’est malheureusement le lot des espaces ouverts et communicants ! Les médiathèques de lecture publique ne sont plus aujourd’hui les « cathédrales de silence » qu’elles étaient jadis. Ce sont plutôt des lieux de vie et de partage. Ceci est lié à la diversification des activités, mais aussi des publics.

Nous faisons baisser le volume lorsque celui-ci nous parait exagéré, mais en raison de l’affluence, le brouhaha est inévitable certains jours. Il nous faut l’accepter.

Toutefois, nous avons remarqué que certaines plages horaires se prêtent plus au travail silencieux : mardi et vendredi après-midi par exemple, ou le samedi entre 12h30 et 15h30.

Pour nous, cela est compliqué.

Une fois le livre en rayon réservé, rien ne nous indique qu’il est en attente pour quelqu’un. Cela représenterait un travail quotidien supplémentaire de recherche.

Si nous décidions que le livre réservé reste en rayon jusqu’à la venue de l’usager concerné, d’autres usagers pourraient potentiellement vouloir l’emprunter et nous risquerions d’avoir de nombreuses plaintes de lecteurs mécontents de ne pouvoir emprunter un document qui paraissait pourtant disponible.

Nous sommes donc obligés de poser des limites à la réservation. Vous pouvez toutefois nous contacter par téléphone pour une mise de côté.

Votre identifiant est créé par défaut lors de votre inscription. Il est composé de la même façon pour tout le monde : NNNPPAAAA (les 3 premières lettres du NOM, les 2 premières lettres du prénom, et l'année de naissance.) ; le mot de passe est votre date de naissance toute attachée, sous la forme jour, mois, année : JJMMAAAA.

Si toutefois, vous avez changé votre mot de passe à postériori, vous pouvez nous demander la réinitialisation de celui-ci.

Dans tous les lieux du monde, il existe des règles. Suite à de nombreux abus dans l’ancienne bibliothèque, nous avons décidé d’imposer la carte pour tout emprunt (elle est indispensable pour passer aux automates).

Par ailleurs, le fonctionnement de la médiathèque n’étant pas truffé de règles trop contraignantes, nous pensons que c’est un minimum.

Nous comprenons que cela serait pratique.

Du temps des cartes à code-barres, la chose était facile : il suffisait de faire une photocopie de la carte de lecteur. Le code barre photocopié passait même sur l’automate de prêt/retours !

La technologie des cartes a évolué, il s’agit maintenant d’une carte qui fonctionne à radio fréquence (RFID). Elle est donc unique et indispensable pour emprunter.

Au niveau technique, il nous est impossible de lier un compte à deux cartes, ni de créer plusieurs cartes pour un même usager.